Lorsque le sergent Etter était au Moyen-Orient, elle est tombée sur deux chatons âgés d’environ huit semaines, tous deux abandonnés et affamés à proximité de la base où elle se trouvait, alors elle s’est occupée d’eux et les a nommés Phantom et Mau.
La base où se trouve le sergent Etter est sur le point de fermer et la peur de les laisser abandonner sur le terrain dans ces conditions compliquées l’a amenée à demander l’aide d’une organisation à but non lucratif qui fournit une assistance aux militaires et à leurs animaux de compagnie appelée Paws of War.
Le sergent Etter a déclaré à PEOPLE.COM :
“Comme nous sommes loin de chez nous et que nous avons été constamment là l’un pour l’autre au cours des derniers mois, Phantom et Mau ont vraiment touché nos cœurs. Ils nous ont fait sentir davantage comme nos meilleures versions de nous-mêmes chaque fois que nous les avons vus à la fin de la journée.”
Paws of War devrait pouvoir collecter l’argent nécessaire pour aider le sergent à transporter les deux chatons chez lui avec elle, selon l’organisation, ce type de démarche coûte très cher.
Le sergent ajouta :
“Je suis plus que ravi que Paws of War soit prêt à nous aider à sauver ces deux précieux animaux.”
L’organisation explique qu’il est nécessaire de coordonner la logistique pour trouver des personnes qui peuvent aider à transporter les animaux sur terre, le processus des dossiers médicaux et des documents pour les deux chatons, et payer le coût élevé du transport international de deux animaux.
Le co-fondateur de Paws of War, Robert Misseri, explique qu’en plus d’aider les soldats à ramener leurs animaux aux États-Unis, ils entraînent et sauvent également des chiens qui sont ensuite remis aux soins d’anciens combattants qui ont besoin d’animaux de thérapie.
Robert a ajouté :
“Quiconque a été dans cette région du monde connaît les conditions dures et cruelles que ces chats pourraient endurer s’ils étaient laissés pour compte.”
Il y a un an, Paws of War a aidé le soldat américain Timothy Boyd à ramener son chiot sauvé, Misha, d’Afghanistan. Ils sont donc très optimistes quant au cas des deux chatons.
Robert a finalement dit :
“Nous ferons de notre mieux pour ramener les chats chez le sergent Etter. Nous savons que nous avons la logistique pour le faire, mais nous avons besoin que le public nous aide à payer.”
